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"..On gagnait peu, mais il fallait, pour vivre
En ces temps là, bien peu de chose aussi ;
On rencontrait rarement un homme ivre,
Et pour la femme ? oh ! jamais, Dieu merci ! |
Mais à présent il nous faut de la ville
Suivre le lin, les métiers, les fuseaux.
La force aveugle et la machine habile
A
l’artisan disputent ses travaux." |